Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
12 mai 2011 4 12 /05 /mai /2011 22:33

Ce soir je me laisserai emporter dans mes fleuves de larmes,

Prise dans les bras du vent, je galoperai dans les lieux incertains

Je danserai dans l'intempérie, je rythmerai le calme.

Je serai un tombeau pour les papillons noyé dans le déclin.

 

Ce qui me trouble, c'est toi que je trouble

Alors pourquoi bois tu mon eau?

Tu fais des ricochets dans mon double

Alors que moi je lissai l'eau...

 

Pourquoi briser ma face?

Des battements de sangs, 

Dans l'élixir des éclats mourants

Des clips,clope en transe

Je serai virtuose de l'errance.

 

Mon secret c'est de te garder,

Sans te le dire...

C est de garder l'éternité

De ce mal que je n'ai su te dire.

 

Mon secret te troubles,

Emporter dans la vague,

Si je le dis, je te dissolve,

Si je dis pas, je tangue.

 

Entres brises et écumes,

J'ai choisi de me dévisager,

En lançant dans mon océan de larmes:

Des pierres, bien aiguisés...

 

Je me laisse emporter dans mes fleuves de larmes,

Il m'emporte loin avec eux,

Dévorant les cieux,

Mon corps blanc spectrale se déforme...

images

Comme un fantôme dans le vent,

Caché de sang dilué dans l'étang

Dilué dans un temps repassant,

Je suis noyé, je descends...

 

Descend de moi,

Descend de toi.

Le feu qui est la vie

Est petit...

 

Emporte moi avec toi,

Sinon je me prends à toi,

En lambeaux dans le tombeau

Le tombeau ailés de flots.fee prisca

Partager cet article
Repost0
10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 05:41

Les elfes riaient aux éclats,

Et tu allais par ci, par là.

Tu étais desse perdu,

Alors ils t'on connu.

Les elfes soufflaient,

Sur les fleurs abimés,

C'est d'ici qu'il t'on connu,

Dépoussiérant l'inconnu.

Soufflant sur les poussiéres,

Des astres, ou tu étais hier.

Voila, tu as un évanteille,

Tu cachais d'une aile,

Un peu de toi,

Tu montrais d'une aile,

Plus de toi.

Ailes moin plissé,

Gestes assuré,

Délicat et sensuelle,

Ouvre évanteille,

Ouvre porte,

Ouvre monde,

Tu ne savais pas,

Il souffla,

L'évantaille est une clé,

Ouvrant portes insoupsonnés,

C'est là il t'on connu,

La ou tu étais perdu. 

A l entré l'elfe était là,

Tu étais là, perdu là.

Tu es rentré,

l'astre s'inclinait,

Tu étais émeirveillé,

L'évantail est une clée,

l'évantail a des facettes,

Il a des cachettes,

Uni à toi, tu fais de lui,

Ce que tu as envie.

L évantail est maguique,

D'une danse lyrique,

Dans les vents,

Dans les élants.

Il suit corps et âme

ouvre et ferme.  

Toujours te suis,

Lui replié sur lui,

Même si il déplit tout de lui,

Cachant tout de toi,

Il est à toi,

Tu fais ce que tu veux de lui.

L'évantaille joue de tes airs,

Souffle un peu sur les portiéres,

Montrant les portes,

Ouvrant des portes.

D'un quart ou d'un demie,

Sa moitié t'as fait de lui.

 

 

 

Partager cet article
Repost0
30 avril 2011 6 30 /04 /avril /2011 10:18

40447829dame-blanche-jpg.jpg

Mon ami,

 

Si proches et si loin

Si équilibré sur son fil,

Mais lui qui a peur de tomber,

De perdre son équilibre.

Lui qui sait que tout est fragile.

Lui qui est fort.

Les yeux fermés,

Mais qui a peur de tomber.

Les yeux clos sur les souvenirs,

Les paroles étientes,

Mais il suit bien son fil

Il est un parfait acrobate.

Lui qui rêve tant de soleil

Qu'il répand plus de rayons, qu'il a...

Ou qu'il reçoit.

Lui qui a la belle âme

Que je vois dans le reflet de ses yeux.

Lui qui aime,

Qui a un sourire sincére,

Lui qu'on aime.

Qui est tant sensible, je sens son coeur qui bat.

Lui qui nous fait oublier toute sa fragilitée

Il préfére pleurer seul, seul dans ses océans invisibles a nous.

Lui qui est gentil, mais qui se cache,

Partagé entre sentiment pour tous,

Mais qui restera belle oiseau

Fuyant cages symboliques

Lui qui restera distant,

Peut être effrayé.

Mon ami aime mais

N est pas a adopté.

Il vole dans nos rêves.

Mais il aura peur,

Fuira chagrin, ou risque de larmes,

Au miroir ou non miroir, nos chagrins lui pése trop pour s'envoler.

Lui pour ne pas perdre son equilibre,

Il aime mais se protége de nous.

Et jamais je n'aimerai effrayé ce belle oiseau

Un ami que j'apprécie

Et qui toujours plane dans mon rêve

J espére qu'il vole dans le joie

Et jamais personne ne reprendra:

Son bonheur, ni enfermera son amiié dans une cage

Mon ami est un oiseau

Je l'aime, le respecte.

Et j'amais je n'aimerai qu'il souffre.

Partager cet article
Repost0
25 avril 2011 1 25 /04 /avril /2011 12:23

Je m'éffondre, je m'éffrite

un matin je suis juste parti trop vite.  

devaller les escaliers,

Arriver au seuil.

Ouvrir la porte,

je voulais peut être pas repartir,

pas pour toujours,

On peut aimer les jardins,

On peut les aimer,

Aimer marcher parmi les fleurs.

Il y'avais des chemins,

de plus en plus loin,

et au loin on nous promet toujours plus beau.  

Et la barraque s'éffondrait,

poussiéres de pierres,

ecroulement bruyant.

Je me suis retourné,

vu maison qui se souvient,

Est de cendre, de sang,

Je vois des âmes qui porte des cruxifies,

Et dansent dans les cendres.

Je m'enerve c'était ma maison!!!

Ma maison qui craque,

Mais la mienne, la leur... 

Et l'arbre sous le soleil de la mort,

courent avec ses racines,

Refusant la terre et le soleil,

Trop chaud, on ettouffe summertine,

On brulent poupées de cire,

On fond poupée de neiges.

L'arbre n'aiment pas s'aggriper,

Rien tien du lieu,

L'arbre court,

Tout s'enfuient,

Le temps courent

La maison n'a plus de toit,

N'a plus de moi,

n'a que des cendres, et cendre d'anges.

et je marche a coté du fil de vie,

Je tombe du côté du vide

Je m'effondre,

Fracassé aux morceaux des cieux.  

Fracassé aux larmes glacés du ciel.

Brisure, sang c est tout ce qu'il reste.

  numerisation0001-copie-1.jpg

Partager cet article
Repost0
13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 17:25

Dans l'onirisme,
Perdu aux regards,
Des pas, trempés part.
Galops dans les larmes.
780-25ccc.jpg
Crinières folles au vent,
Accroché à la robe noire,
A toute allure, jambes courantes,
Éclaté: miroir tremblant!

Éclat liquide, des brisures
Par des sabots au trop,
Des galops, éclairs de l'eau,
Des beautés brisant un peu l'azur.

Des allures noirs,
Qui passent au levé du soleil.
Des allures trempé de sommeils.
Tes yeux vont il encore boire?

Paupières de sables
Boit la mer,
Boit l'éphémère
De la voluptés animale.

Courant sur des paysages,
Au galops sur des nuages.
Cours animale sauvages.
Nage dans mes mirages.

Ô j'aime ses souhaites fantômes,
L'éclat de l'eau
La passage au galop
L'allure à toute allure en mon royaume.

J'aime déesses au vents...

Partager cet article
Repost0
26 mars 2011 6 26 /03 /mars /2011 11:06

Le tableau
Tu n'es plus qu'un nu
Tu n'es plus que forme
Tu n'es plus rien.
Tu n'es plus que larmes,Photo-007.jpg
Qui tien le crie.
Mais toi seul le sais
Sais tu as peur
Sais d'ou sa vient.
Mais vien pas!
Ne fais pas, pas à pas. Peur reste loin, mais tu viens par...
Ah! T'as pris cette route,
Douce et noir, et rouge sang.
Ton sang du soir.
Tu n'es plus qu'un nu
Et tu pleure.
Tu veux être autre,
T'as un crie doux
Sous les eaux, les fleuves.
Ton nu pleure dans son cadre
Et tu fais des traits
Des traits qui creuse et cris
Tous doux, dans la nuit.
Ta nuit que tu berce
Et que tu hante
Ton trait est un signe
Il a le gout de ton sang
Et il te piend.
Mais toi seul le sais,
Tu n'es plus qu'un nu
Et ton corps il pleure,
Alors tu meurs
Alors tu te tue
Car tu te sens rien
Et tu sens plus rien.
Et tu perce se rien,
Et tu sort ton sang.
Sur ton corps à nu,
Tu n'es plus que pleure
Tu n'as plus que la peur
Qui te cris.
Et toi seul le sait.
Tu n'es rien
Rien que sang et pleure
Tu es mort!

Partager cet article
Repost0
18 mars 2011 5 18 /03 /mars /2011 14:00

1ophelia_m.jpg

Libellule
 
Une libellule tenu a tes cheveux,
Accroché aux algues emportés.
Ton visage qui flotte est englue.
Tes pommettes rouges sont otés.
 
Ma nymphe ton corps à disparu,
Et tes yeux caressent les néants.
Ma nymphe l'eau voile ton corps à nu
drapé, volant, détenue du courant.
 
Courant sur les prairies en fleurs,
Ta silouhaite est mourante.
Tu te laisses emporter par les pleurs
d'images brisés et tremblantes.
 
O beau miroir des âmes.
Pourquoi avoir péché ma mie?
Tu prends l'éclat, la brisure dans ta lame.
Tu films une silencieuse tragédie.
 
Ton monde est un manoir.
A l'interieur il y'a ma mie,
Prise entres deux mondes ilusoires.
Mais la libellule joue une mélodie.
 
Elle pince ces cheveux lissés,
Pour elle, se sont des cordes.
Les algues lissés par les eaux fond chavirer.
Mais la libellule a un code:
 
C'est une musique sous les voutes
Entres les arches dessinés par les nuages.
L'écho cristallin est une porte,
Une voie d'eau nage.
 
La libellule joue dans ses cheveux
La mélodie a une clé
d'une porte. Ouvres là si tu veux.
Ma nymphe y est...
 
Là bas entres clapotis
Là bas qui coule
Là bas qui a ma mie
Là bas qui chante.
 
Entre deux mondes troublés d'identiques,
Flotte son corps statique,
Entres morceaux de lumiéres troublés.
Tout son être ma fait vibrer.
 
Mais l'eau a pris ma mie,
La libellule détient l'espoir.
Avec sa mélodie,
Elle peut ouvrir le manoir.
 images.jpeg
Je t'y trouverai ma jolie nymphe. 

Partager cet article
Repost0
14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 16:32

Un jour ou je n'arrives pas à me lever.

La tête me tourne, l'estomac me tourmante, je marche pas droit. Alors je reste.867whdya

 

Les sens m'on tend aiguisé, le couteau blesse, les sens tend aiguisé, j'ai pas pu dormir, j'ai eu peur de l infime craquement, des ombres. On souri mais à l'intérieur on a le sourir à l'enver. Un bord de bouche s'accroche à la lueur de la chandelle. Tout s'accroche sur une lueur. On reçoit l'envers du retour, le sourire à l'envers, je vois mon ombre flottante. Je pense à l'envers du décor des temps passé. Par les temps divers, dans le froids je suis passé par les plais du passé, je ne sais que repasser par là. Chaque ride qu'on veux lisser. Passé par les plais on est tous passé par là. Là ou les choses nous attachent, on s'en détache, de tout! Les blessures sont là, mais on les sens plus. Je cours sur les blés...Je peus écrire sur chaque vide. Tout est vide alors j'écris partout. Je cris partout comme une louve seul. Je passai par là ou je me perds. Je cherche les moments limpides, je trace des chemins en écrivant. La plume déplace la poussiére, repousse hier. On cherche cette état ou on se remet tout au propre, ou on renait, ou on remet tous au clair.

Au clair de la lune, la tête remplis de brumes et d'étoiles, j'écris, je cris comme une louve seul. Ou je tisse comme l' araigné prisoniére du filet. Je file,voyage dans  l incertitude, je ne puis reculer. Je fais reculer la platitude.

Je marchai cette nuit en pensant, en passant.

Si j'ai du m'areter, l'état à attendre n'était pas tendre. On atends la magie opére.

Le stylos trace. Car sans lui, l'état est le même qu'une eau morte, sans lui je m'imobilise, en souffrant. Mais mon stylos soufflant sur mon mal, ouvre des routes.

 

Ce matin le jour se léves et je ne peux plus me lever, je ne peux plus marcher, et j'ai pas faim, je cherche pas la fin, j'iberne sous les draps. Tout est flou et pourtant rien pour réécouter Lingston, Jonathan le goéland, je ne meurt pas completment. Je m imagine m'envolant, libéré de tout.

Partager cet article
Repost0
11 mars 2011 5 11 /03 /mars /2011 14:47

v4v20cgc.jpg 

Je nage dans l'océan émeraude. Dans l'un de tes océans.

Des cristeaux il en coule à flot, ça sautille, trotte comme les licornes.

Ca rie comme la riviere.

L'or tombe, pierre par pierre. Sabot aprés sabot courant sur ta face.

Sur ton visage, du haut de tes deux nuages, de deux ovales, deux vitreaux de l'âme, des cristeaux chutent

Libére toi ô cascade!

J'imagine les impact d'une mélodie qui rythme la statue de ton visage, la statue de  ton corps.

Pierre par pierre.

 

J'écris la musique

J'écris les larmes que tu ne puis verser. J'écris sur nos corps.

En nous c est lacrymal.

Le poison coule dans nos veines.

 

J'imagine, tu pleurs de l'or, elle bat une mesure pianisimo sur ton corps éclésiastique.

L'éclat de tes sanglots pleurent dans moi.

 

 

Partager cet article
Repost0
8 mars 2011 2 08 /03 /mars /2011 11:56

Morceaux d'âme

D'une étincelle dans ses yeux, 
Tu la prend en un éclair,
La douce et jolie mer bleu,
Tu la bois depuis hier.
0ic45yz1.jpg
Il y'a au milieu un trou,
Une chose tombait dedans.
La chose a vu: rien du tout
C'est juste vide et noir dedans.

Ce n'est que ses cils courbés,
Qui prennent: le courant.
Un feu dans le ciel étoilé.
Dans les branches il y' a un homme marchant

Il marche sur l'eau de tes forêts,
Il a allumé une flamme au ciel.
Il marche peut être dans son reflet.
Du feu, il reste les cendres trop vielles

Es ce que c'est toi? Ou lui?
Qui au milieu est tombé,
Dans les cendres de la nuit,
De ton regard oublié.

Il y'a une épave dans elle,
Elle sera tenté d'y rester
parce que les...
Yeux en incendie de la belle,

L'aime trop pour ne pas rester.


Elle veut, être dans ton reste,
Elle a toujours d'un amour
Le souvenir des choses éteintes;
D'une mort qui pèse lourd

Le souvenir d'une barque qui s'échoue

Nous vivions   dedans.
Les ruines de l'épave sont dans le trou.
Et nous encore dedans.

Dans les yeux de ma mère,
Il y'a notre mort...
Cause d'un poison liquide d'hier,
Qui a notre triste sort.

On pleur celui qui marche dans le reflet de ses yeux,
Pourtant il conduisait et dirige toujours notre tombeau,
Seulement il était juste malade, pas méchant à nos  yeux
Sur notre mer morte on échoue encore dans des morceaux.


D'une étincelle dans ses  yeux
Tu nous prends en un éclair,
Tu bois tout ce bleu
Devenu suspendu en l'air.

On a un feu aux yeux
On a un feu au cœur
On a un feu aux cieux
On a un trajet qui meurt.

On sait même plus qui hante qui? Et quoi?
On sait que l'on s'aime,
Pour le bien et le pire
On a des morceau d'âmes au  yeux. Est ce à toi?

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de fee-noire.over-blog.com
  • : Mon univers sombre et féérique...Je m'appelle Prisca Poiraudeau,une rêveuse gothique, je suis passionné d'art...
  • Contact

Recherche

Liens